Aujourd’hui, tous les magazines vantent les mérites de la médecine douce et nombreux sont les Français à s’intéresser au sujet. Outre la phytothérapie, il est également possible de se soigner à l’aide des huiles essentielles. L’aromathérapie est puissante et peut même être dangereuse si elle n’est pas maîtrisée. Il existe quelques précautions d’emploi à respecter impérativement. Il est déconseillé aux femmes enceintes de recourir aux huiles essentielles en dehors de celles qui leur sont spécialement consacrées. Il est, par exemple, possible pour une femme enceinte de lutter contre les nausées à l’aide de l’huile essentielle de gingembre. Cette huile essentielle est également efficace pour lutter contre la fatigue, la constipation et l’impuissance.
Comment utiliser les huiles essentielles ?
Les huiles essentielles se suffisent à elles même pour lutter contre un mal identifié, elles sont très puissantes. À ce titre, il est impératif de respecter la posologie. S’il est nécessaire de prendre une goutte pour lutter contre les nausées, il ne faut pas en ajouter une pour espérer de meilleur effet. Cela pourrait avoir un effet très néfaste sur votre état de santé. Les huiles essentielles peuvent s’avaler, se respirer ou s’appliquer sur la peau. Dans le cas d’une ingestion, il est primordial de ne pas avaler l’huile essentielle pure. Vous pouvez l’avaler avec un comprimé neutre, avec une huile végétale ou encore avec du miel. Les huiles essentielles sont très efficaces en application cutanée. Elles passent la barrière cutanée pour directement rejoindre la circulation sanguine et de là l’organe cible à soigner. Attention, sauf cas exceptionnel, il ne faut pas appliquer une huile essentielle pure sur la peau. Prévoyez une huile végétale ou une compresse imbibée d’eau.
Est-il possible de se faire rembourser ce type de soin ?
Malheureusement, la médecine douce est très mal remboursée par les mutuelles. Il est très important de comparer les offres des mutuelles pour choisir celle qui rembourse le mieux ce type de soin. En tout état de cause, la sécurité sociale n’est pas encore ouverte au remboursement de l’aromathérapie alors même que les résultats sont constatés.